Selon les nouveaux amendements, publier l’image d’un policier alors qu’il se produit à la télévision ou sur les réseaux sociaux sera considéré comme un crime.
La sanction est un an de prison et une amende pouvant aller jusqu’à 45 000 euros.
Des exceptions au projet de loi sur le placement d’images de gendarmes ont été réclamées par la médiatrice en chef française Claire Edon. Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a exprimé sa «profonde préoccupation». Le chef du ministère français de l’Intérieur a, à son tour, déclaré que la nouvelle mesure visera exclusivement à protéger la vie des policiers et gendarmes, qui, contrairement à de nombreux collègues européens, travaillent avec le visage ouvert.
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