Les actions de protestations de policiers se poursuivent dans l’Hexagone, après les propos de Macron sur le racisme et la violence dans la police. À Nîmes, des agents ont distribué des bonbons et n’ont pas verbalisé ceux qui ne présentaient pas de dérogation valide.
Une semaine après les propos du Président sur les contrôles au faciès et ses allusions aux violences policières, les actions de protestations des policiers continuent, avec notamment des grèves du zèle. Lors d’une action soutenue par le syndicat Alliance, des agents de l’Hérault et du Gard ont procédé à des «contrôles de courtoisie», rapporte Objectif Gard.
«Accusés de tous les maux de la société. Insultés et agressés lors de leurs missions voire même dans leur vie privée. Vilipendés par certains politiques, accusés d’être racistes et violents. Lâchés et stigmatisés jusqu’au plus haut niveau de l’État. Les policiers souhaitent mettre l’accent sur leur souffrance et leur colère face à ce qu’ils vivent comme une véritable injustice», a indiqué Alliance dans un communiqué.
Rejoignez News-Front sur Facebook, Vkontakte, et Telegram pour découvrir le meilleur de nos informations