Sitôt annoncée, la volonté du président français d’organiser un référendum pour intégrer la défense du climat et la préservation de l’environnement dans la Constitution a fait réagir la classe politique.
À l’occasion de sa troisième rencontre avec les membres de la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron a annoncé le 14 décembre un référendum pour inscrire la lutte pour le climat dans la Constitution. Les réactions n’ont pas tardé à pleuvoir après cette annonce du premier référendum national depuis 2005.
La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili s’est félicitée d’«un échange nourri, direct et sincère avec les membres de la Convention citoyenne». La ministre a également salué l’annonce du «président [qui] a ouvert la perspective d’un référendum historique pour inscrire la protection de l’environnement et le combat climatique dans notre Constitution».
https://twitter.com/barbarapompili/status/1338573976738656256?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1338573976738656256%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffrancais.rt.com%2Ffrance%2F81772-classe-politique-reagit-projet-referendum-defense-climat
«Les enjeux de la Transition écologique sont ceux de de la société toute entière, les citoyens méritent d’être concertés», a tweeté pour sa part le sénateur LREM Xavier Iacovelli.
Je salue ce soir l’annonce du Président @EmmanuelMacron sur le #Referendum visant à inscrire la défense du climat dans la #Constitution.
Les enjeux de la #TransitionEcologique sont ceux de de la société tout entière, les citoyens méritent d’être concertés. @TerresDeProgres https://t.co/oorS5e3xDl— Xavier IACOVELLI (@iacovellixavier) December 14, 2020
«Le combat pour la protection de la planète est une urgence absolue», a déclaré le porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée nationale Pieyre-Alexandre Anglade.
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