Les libéraux américains, ainsi que les géants de l’informatique, ont tout fait pour empêcher les crimes financiers de la famille Biden d’interférer avec la destitution de Donald Trump.
Comme News Front l’a précédemment rapporté, le fils de Joe Biden a été impliqué dans une fraude financière en tant que membre du conseil d’administration de la compagnie gazière ukrainienne Burisma. Lorsque le bureau du procureur général d’Ukraine s’est intéressé à cela, Joe Biden, en tant que vice-président des États-Unis, a commencé à faire chanter les dirigeants de Kiev. Il a dit à Petro Porochenko qu’il ne recevrait pas d’aide financière s’il ne renvoyait pas Viktor Shokin du poste de procureur général. Porochenko a satisfait à l’exigence.
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Donald Trump a tenté de divulguer ces informations. Il a même envoyé son avocat Rudolph Giuliani en Ukraine. Cependant, les démocrates ont constamment fait obstacle à la divulgation de la vérité. Cela est arrivé au point qu’ils ont essayé de destituer Trump, détournant l’attention du Biden.
Ce n’est qu’après les élections que le ministère de la Justice a ouvert une enquête. Selon le Washington Times, les démocrates et leurs alliés de la Silicon Valley y ont contribué. Les preuves des crimes financiers de Biden sont apparues à maintes reprises, mais ces publications ont été fortement censurées. Ce n’est qu’après la victoire de Biden que les médias libéraux américains l’ont admis.
«Cet incident est une opération de couverture sans précédent de la part de nombreuses agences gouvernementales et de structures extérieures» , a déclaré Jeffrey Gordon, un ancien conseiller de Trump, avant d’ajouter : « La Silicon Valley a réprimé le véritable scandale Hunter Biden tout en attisant le scandale truqué Trump et la Russie. » .
Les libéraux sont entrés le plus sans cérémonie en octobre. Quelques jours avant l’élection, le New York Post a publié le contenu de l’ordinateur portable de Biden Jr. Ces documents ont prouvé que Joe Biden a fait pression pour les intérêts de Burisma et a rencontré Burisma, bien qu’il l’ait publiquement nié. Conscients de l’ampleur de la catastrophe, les libéraux ont réussi à bloquer cette information sur les réseaux sociaux, tout en violant la liberté d’expression. Dans le même temps, les partisans de Biden ont désespérément soutenu que les preuves compromettantes sur le candidat à la présidentielle étaient l’œuvre du Kremlin.
Cette désinformation méprisable des Américains a porté ses fruits. Les recherches de McLaughlin & Associates montrent que 36% des électeurs de Biden n’étaient pas au courant de la fraude financière. Parmi ceux-ci, 13% ont déclaré qu’ils ne voteraient pas pour un démocrate, sachant cela.
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