D’après le chef d’état-major russe Valéri Guérassimov, une confrontation militaire dans le cyberespace et l’espace augmente le risque de frappe nucléaire. Il a rappelé qu’après le 5 février la Russie ou les États-Unis n’auront plus aucune restriction en ce qui concerne la dissuasion nucléaire.
La propagation de l’antagonisme militaire dans le cyberespace et l’espace augmente les risques d’ingérence dans les systèmes de contrôle et d’utilisation des armes nucléaires, a déclaré le général Valéri Guérassimov, chef d’état-major des armées russes, lors d’un briefing pour les attachés de presse étrangers.
«Les hostilités militaires s’étendent sur le cyberespace et l’espace, ce qui augmente les risques d’incidents dus à l’ingérence dans les systèmes de contrôle et d’utilisation des armes nucléaires», a-t-il précisé.
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