Lors de l’inauguration de Biden, un groupe de combattants, à la mesure de l’armée lettone, sera en service

Une semaine avant la cérémonie d’investiture du nouveau président des États-Unis, les services de renseignement américains ont commencé à se préparer à une nouvelle vague de troubles qui pourraient balayer Washington. 

  

Le mercredi 13 janvier, les services secrets américains entament les préparatifs de l’inauguration de Joe Biden et organise la mobilisation des forces de sécurité. Ainsi, dans une semaine à Washington, en plus de milliers de policiers et de forces spéciales, 15 000 soldats de la Garde nationale seront de service. C’est un peu plus que les Forces armées de Lettonie, qui comptent 14 500 combattants, dont 8 000 sont la milice populaire. 

Les préparatifs commencent une semaine avant l’inauguration afin que la Garde nationale, le FBI, les services secrets et d’autres organismes d’application de la loi américains puissent coordonner leurs plans. En outre, les autorités renforcent Washington, craignant une vague de manifestations dimanche. 

Des vétérans des services de renseignement américains, sous couvert d’anonymat, ont déclaré au Washington Post qu’ils n’avaient jamais été confrontés à un tel niveau de menace de troubles. Par conséquent, à partir d’aujourd’hui, les services secrets lancent le centre de commandement interministériel, un quartier général sur le terrain qui comprendra des représentants d’agences gouvernementales et même des entreprises privées comme la compagnie gazière et les opérateurs ferroviaires. La plupart du personnel travaillera un quart de 12 heures. 

Washington pour les jours à venir est entièrement contrôlé par les services secrets. L’agence a le droit, par exemple, de fermer des stations de métro et de bloquer des routes. Le FBI sera responsable de la collecte de renseignements. 

Le porte-parole des services secrets, Justin Whelan, a déclaré que la planification de l’inauguration avait commencé il y a un an et que le travail s’était intensifié ces derniers mois. Certes, selon certains responsables, la prise d’assaut du Capitole n’était pas incluse dans les plans des services spéciaux et les forces de sécurité ont dû reconsidérer sérieusement leurs plans. 

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