L’Europe pourrait refuser le vaccin américain, mais fait face à des pressions

Les experts européens ont posé de nombreuses questions sur le vaccin Pfizer, avec ses effets secondaires et ses conditions de stockage difficiles. 

  

L’Agence européenne des médicaments a approuvé l’utilisation massive du médicament fabriqué aux États-Unis au milieu des nouvelles de la mutation «britannique» du coronavirus. L’approbation a eu lieu malgré les nombreux effets secondaires du vaccin.   

Le premier pays à autoriser la vaccination avec Pfizer a été le Royaume-Uni. Les premiers effets secondaires y sont également apparus. Les personnes allergiques étaient confrontées à des problèmes et, à la fin, on leur a même conseillé de ne pas se faire vacciner. Depuis lors, des problèmes liés à la drogue sont apparus en Allemagne, en Israël et en Grèce. Aux États-Unis, le vaccin a tué au moins 55 personnes.   

L’Agence européenne des médicaments a approuvé l’utilisation du vaccin sous pression, rapporte Le Monde, citant des documents réglementaires confidentiels. Il s’est avéré que certains fonctionnaires de l’UE ont insisté pour approuver le médicament, ignorant les points problématiques.   

Par exemple, la chef de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a lancé un ultimatum à l’agence, a déclaré l’un des employés du département. Même le fait que la composition finale du médicament ne correspondait pas à la composition utilisée dans les essais cliniques a dû être ignoré.

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