Le patron de Facebook a indiqué mercredi que la plateforme ne recommanderait plus à ses utilisateurs les groupes militants ou politiques, une mesure déjà prise aux États-Unis cet automne pour juguler les tensions liées aux élections.
Le réseau social, qui a joué un rôle majeur dans les printemps arabes il y a dix ans, souhaite désormais réinventer son image loin des controverses et scandales politiques qui rythment son quotidien depuis l’élection de Donald Trump et le Brexit en 2016.
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«Nous avons arrêté de recommander les groupes militants ou politiques aux États-Unis, à l’approche des élections, et nous avons maintenant l’intention d’étendre cette règle au monde entier», a déclaré Mark Zuckerberg lors de la présentation des résultats trimestriels du géant des réseaux sociaux.
Son objectif est de «calmer le jeu et décourager les conversations clivantes».
Dans le communiqué publié auparavant, il se disait «enthousiaste» à l’idée de concevoir, en 2021, «des moyens de créer des opportunités économiques, de construire des communautés et d’aider les gens à simplement s’amuser».
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