Washington condamne le putsch contre le gouvernement démocratiquement élu d’Aung San Suu Kyi en Birmanie et promet d’«agir contre les responsables» si les arrestations «ne sont pas abandonnées».
Les États-Unis exigent la libération par l’armée birmane de plusieurs dirigeants interpellés, dont la chef de facto du gouvernement Aung San Suu Kyi, et menacent de réagir en cas de refus.
«Les États-Unis s’opposent à toute tentative de modification des résultats des récentes élections ou d’entrave à une transition démocratique en Birmanie et vont agir contre les responsables si ces mesures [les arrestations, ndlr] ne sont pas abandonnées», informe dans un communiqué la porte-parole de la Maison-Blanche Jen Psaki.
Nous «exhortons l’armée à adhérer aux normes démocratiques et au respect de l’État de droit et à relâcher les personnes arrêtées aujourd’hui», ajoute-t-elle.
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