Des hackers «avancés», probablement «d’origine russe», seraient responsable du piratage de SolarWinds dont plusieurs agences fédérales américaines ont été victimes, a déclaré la conseillère adjointe à la Sécurité nationale de la Maison-Blanche pour la cybernétique et les technologies émergentes.
Anne Neuberger, conseillère adjointe à la Sécurité nationale de la Maison-Blanche pour la cybernétique et les technologies émergentes, a déclaré, lors d’une conférence de presse ce 17 février, qu’un acteur «avancé», «probablement d’origine russe», était responsable de cyberattaques connues sous le nom de SolarWinds, révélées en décembre dernier. Selon elle, les services de renseignement sont actuellement à la recherche des auteurs du piratage.
«Nous estimons qu’il leur a fallu des mois pour planifier et concerter. Il nous faudra un certain temps pour découvrir cela couche par couche», explique-t-elle.
Lorsqu’il y a une concertation d’une telle ampleur, «c’est plus qu’un simple incident d’espionnage», estime-t-elle, soulignant le caractère potentiellement «perturbateur» de tels actes.