Le Maire refuse désormais «la distinction entre commerces essentiels et non-essentiels» – video

Le ministre de l’Économie s’est montré attentif quant aux difficultés des commerces fermés suite aux nouvelles mesures de restriction, évoquant une possible évolution de la liste de ceux autorisés à ouvrir. Un point de vue qu’il ne semblait pourtant pas avoir quatre mois plus tôt.

Les mesures de restriction prises par l’exécutif français la semaine dernière ont conduit à la fermeture de 90.000 commerces. Trois jours après leur entrée en vigueur, Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, s’est déjà montré prêt à revoir la liste de ceux autorisés à rester ouverts.

«Pour moi, tous les commerces sont essentiels […]. C’est tout simplement la vie, le commerce: tout dans la vie est essentiel», a-t-il dit sur RTL lundi 22 mars.

«Je refuse cette distinction entre commerces essentiels et non-essentiels […], tout est essentiel», a-t-il insisté.

https://twitter.com/RTLFrance/status/1373901558123991040?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1373901558123991040%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffr.sputniknews.com%2Feconomie%2F202103221045383020-le-maire-refuse-desormais-la-distinction-entre-commerces-essentiels-et-non-essentiels%2F

Actuellement, les librairies, les salons de coiffure, les magasins de bricolage, les jardineries, les chocolatiers, les cordonniers sont considérés comme des commerces pouvant ouvrir. Par contre, les instituts de beauté ou les galeries d’art sont fermés. Les boutiques de vêtements, elles aussi, ont dû fermer mais peuvent continuer à recourir au «click & collect».

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