La France a accusé vendredi 26 mars le Royaume-Uni d’exercer un «chantage» sur les livraisons de vaccin AstraZeneca, parce qu’il a un «problème» de stocks pour l’administration de la deuxième dose aux Britanniques déjà vaccinés une première fois.
«On ne peut pas jouer comme cela, un peu au chantage, dans la mesure où on a voulu vacciner à tour de bras (pour) la première dose et on se trouve un peu handicapé pour la seconde. L’Europe n’a pas à faire les frais de cette politique-là», a déclaré le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian sur la radio France Info.