Les scientifiques ont nommé un facteur inattendu de décès prématuré

Des scientifiques américains ont identifié une relation entre l’indice d’acides gras oméga-3 et le risque de décès prématuré. Les résultats de la recherche sont publiés dans la revue Nature Communications. 

Selon les résultats d’une méta-analyse, qui comprenait des informations sur 42000 habitants de différents pays, les personnes ayant un indice plus élevé d’acides eicosapentaénoïque, docosapentaénoïque et docosahexaénoïque avaient en moyenne un risque de décès prématuré de 13% inférieur, contrairement à ceux qui avaient le niveau de ces oligo-éléments dans leur sang ci-dessous. Toutes choses étant égales par ailleurs, les patients présentant un manque de ces acides étaient plus susceptibles de mourir d’un cancer, d’une maladie cardiovasculaire et d’autres causes. 

Les scientifiques étudient le lien entre les niveaux d’oméga-3 et les maladies affectant le cœur, le cerveau, les articulations et la vision depuis des années, mais peu ont étudié l’effet possible des acides gras sur l’espérance de vie. 

Les nouveaux travaux ont confirmé que les oméga-3 présents dans les poissons de mer et les fruits de mer peuvent avoir des effets bénéfiques sur la santé globale et ainsi ralentir le processus de vieillissement, soulignent les auteurs de l’article. 

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