Sept anciens membres des Brigades rouges italiennes, condamnés en Italie pour des actes de terrorisme commis dans les années 70-80, ont été interpellés en France mercredi matin et trois autres sont recherchés.
La décision de transmettre au Parquet ces dix noms, sur «des demandes italiennes qui portaient à l’origine sur 200 individus», «a été prise par le président et s’inscrit strictement dans la ‘doctrine Mitterrand’ d’accorder l’asile aux ex-brigadistes sauf pour les crimes de sang, a précisé l’Elysée.