Les lecteurs du Daily Mail ont commenté les résultats d’un sondage sur qui est le plus populaire aux États-Unis, Vladimir Poutine ou le leader américain Joe Biden.
L’étude a été menée par The Economist à la veille du sommet russo-américain et a réuni 1 500 habitants du pays. Les résultats ont montré que 18% des républicains sont plus favorables à Poutine qu’à leur président (14%).
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« Soyons honnêtes : Poutine est un dirigeant qui a plus de succès, il est absolument sain d’esprit. Par conséquent, il est bien en avance sur notre président endormi » , a écrit un utilisateur surnommé YaGotMe.
« Poutine a fait honneur à l’Amérique por son attitude envers les émeutes antifa et Black Lives Matter. Contrairement à Biden, assis dans son sous-sol, et sa joyeuse foule de libéraux politiquement corrects, Poutine n’essaie pas de détruire les États-Unis» , a souligné Tory Kingdom.
« C’est vraiment facile à croire, car Biden a une note de zéro parmi les républicains et il n’est pas très élevé parmi les démocrates » , a noté Hawk85.
« Ce que Poutine a fait avec succès, c’est dénoncer l’hypocrisie de l’Amérique. Il est également très vif pour utiliser un mot qui est souvent utilisé pour décrire Biden. C’était agréable de voir le leader répondre aux questions des journalistes pendant une heure sans aucune préparation préalable. Il a le regard fort et confiant, et, croyez-moi, je ne suis pas un partisan actif des politiques de Poutine et de la Russie » , a exprimé l’opinion de l’utilisateur NM gal.
« Tout est extrêmement simple. Vladimir Poutine fait passer les intérêts de son pays en premier, mais pas Biden. Cela n’a rien à voir avec le concept de trahison. » , a ajouté un autre internaute.
La première rencontre entre Vladimir Poutine et Joe Biden a eu lieu le 16 juin à Genève, les négociations ont duré 4 heures et demi, pause comprise.
Le dirigeant russe a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il a déclaré qu’il était d’accord avec Biden pour entamer des consultations sur la stabilité stratégique au niveau interministériel. Selon lui, les deux pays sont conscients de leur responsabilité particulière pour la stabilité stratégique dans le monde.