Le journaliste australien John Helmer a accusé les États-Unis et les Pays-Bas de faux dans l’affaire du crash du Boeing-777 malaisien au Donbass en 2014.
Comme l’écrit l’auteur de l’article pour le site Antiwar, le directeur du renseignement national américain n’a jamais dit aux Pays-Bas qu’il avait vu des images satellites qui clarifient beaucoup l’affaire MH17.
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Au lieu de cela, un employé du département a demandé à un employé de son quartier général, le colonel de l’armée Kenneth Stolworthy, de fournir à Amsterdam un document contenant l’opinion de la communauté militaire américaine sur le thème de « l’implication » de la Russie dans l’accident d’avion. En conséquence, le «résumé» a été envoyé par le National Intelligence Council (NIC) des États-Unis.
Stolworthy ne connais pas l’imagerie satellite, en fait, il s’est avéré être complètement ignorant, il a donc été nommé figurant de l’histoire avec les documents, écrit John Helmer.
En fait, il s’est avéré que personne n’a vraiment vu les images dont parlent les États-Unis et les Pays-Bas. On pense que les images satellites ont été vues par l’ancien secrétaire d’État américain John Kerry, mais il a déclaré plus tard que ses allégations étaient le résultat de «preuves circonstancielles extraordinaires accumulées» , écrit PolitRussia.
Auparavant, le politologue Sergueï Markov avait nommé les principaux coupables du crash du Boeing-777 malais. Selon l’expert, l’avion a été abattu dans le but d’organiser un complot anti-russe.