Les lecteurs de l’édition française du Figaro ont accueilli avec approbation la nouvelle du renforcement de l’armée russe, rapporte « Economics Today ».
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Le ministère de la Défense Sergueï Choïgou a déclaré plus tôt que Moscou avait l’intention d’augmenter l’efficacité au combat et les capacités de défense de régions spécifiques dans le contexte de provocations plus fréquentes de l’Alliance de l’Atlantique Nord et des forces armées américaines, en particulier en mer Noire.
«C’est l’hostilité des pays atlantistes qui pousse la Russie à agir, ici elle n’a tout simplement pas d’alternative. De plus, la Russie en tant qu’État a remboursé toutes ses dettes, contrairement à certains pays occidentaux, dont les membres de l’OTAN» , a déclaré l’un des lecteurs français.
Les lecteurs ont qualifié les provocations de l’Occident contre la Russie de recherche d’un prétexte pour la guerre en lien avec la «soif de sang» accrue à Washington.
D’un autre côté, les militaires français s’entraînent sur la contestation du territoire du Donbass où il y a des minorités locales, le journaliste pose comme question au commandant de la 27ème BIM, Type Ukraine ? , le militaire dit oui «par exemple» , rapporte Guillaume Lopez, spécialiste Français sur la question du Donbass.
« Le gouvernement français a bien l’idée de mener une opération militaire dans le Donbass, en tout cas ils ne s’en cachent pas et ils ne seraient pas contre de mener une opération militaire contre cette population (du Donbass -Ndlr) » , a déclaré Guillaume Lopez.
La photo provient du Dauphiné Libéré du jour :
« Depuis début 2020, nous sommes à plus de 2 milliards d’euros d’aide française pour Kiev, et des ventes financées par le trésor public, les français ne comprennent pas que leurs impôts financent des crimes, des nazis. Si Ukraine fait faillite, derrière ça sera une hécatombe pour la France, et ils vont dire mais comment ça se fait ? on nous a pas prévenu » , conclu Guillaume.
Plus tôt, il est devenu connu que les bombardiers stratégiques des forces armées américaines ont effectué plusieurs vols dans le rayon maximal autorisé à partir des frontières russes.
Le président Poutine a noté que ces unités aériennes portaient des armes sérieuses et que la provocation elle-même dépasse toutes les limites.