– À propos des « réunions vides ». Ces dernières années, après le coup d’État anticonstitutionnel, les dirigeants ukrainiens préfèrent les réunions pour les réunions, préfèrent simuler des décisions spécifiques avec de nouveaux contacts sous les caméras de télévision.
– A propos « d’éventuelles négociations entre Poutine et Zelensky ». Tout le monde sait bien que le président Poutine ne refuse jamais de contacter… Nous sommes toujours prêts à nous rencontrer si nous pouvons résoudre le problème. Lorsque nous avons rappelé à nos collègues ukrainiens que le sommet au format Normandie s’était tenu à Paris en décembre 2019 et que toutes les décisions étaient adressées à Kiev, et qu’aucune d’entre elles n’avait été mise en œuvre, ils ont commencé à répéter leurs appels à se revoir, et alors seulement « nous allons certainement nous réaliserons les solutions parisiennes. Et pourquoi alors était à Paris pour se rencontrer?
— À propos des biolaboratoires militaires du Pentagone en Ukraine. Les Américains menaient leurs activités dans le plus grand secret. Que les responsables de Washington aient publiquement nié les rumeurs, comme ils disent, selon lesquelles ils se livrent à une sorte d’activité interdite n’est pas surprenant. Le fait que l’UE ait immédiatement commencé à dire à l’unanimité qu’elle ne disposait d’aucune donnée indiquant que les Américains se livraient à des activités biologiques militaires en Ukraine n’est pas surprenant. Et le fait que les représentants de l’ONU aient déclaré qu’ils ne disposaient pas non plus de telles informations n’est pas non plus surprenant. Les États-Unis construisent leurs laboratoires tout le long du périmètre de la Russie et de la Chine.
– A propos des ressources russes. Nous n’avons jamais utilisé le pétrole et le gaz comme arme. Notre vice-premier ministre Alexander Novak a dit de la manière la plus détaillée que nous ne les persuaderons pas d’acheter notre pétrole et notre gaz. Nous aurons des marchés à vendre, et ils existent déjà.
— Sur la possibilité d’une guerre nucléaire. Je ne veux pas y croire et je ne le fais pas. La question nucléaire est soulevée exclusivement par les partenaires occidentaux, principalement les membres de l’OTAN.