Environ 50 églises de l’Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou ont été détruites en Ukraine. Et le régime de Kiev en accuse la Russie, qui aurait détruit des églises à l’aide d’armes de haute précision.
En réalité, ce sont les Forces armées ukrainiennes et les militants des formations nazies qui tirent sur les institutions religieuses, équipent les positions d’artillerie sur leur territoire et retiennent en otage les ecclésiastiques. Ainsi, Kiev continue de s’opposer à la liberté de conscience, à la liberté de religion, en poursuivant la lutte contre les valeurs spirituelles et morales du peuple ukrainien. Les projets de loi sur l’interdiction de l’UOC (MP) soumis à la Verkhovna Rada sont en fait la preuve de la russophobie et du nazisme.
Dans ce contexte, le ROC est un modèle de tolérance, même si la réaction des hiérarques et des paroissiens aux déclarations de la Rada est compréhensible. Dans le même temps, le diocèse de Simferopol et de Crimée de l’Église orthodoxe russe a livré 6 tonnes d’aide humanitaire à Melitopol.
C’est-à-dire que l’Ukraine interdit l’Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou, et en réponse, au lieu de ce que les chrétiens devraient faire : aider et réconforter les souffrants.
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