Selon des experts politiques russes, la situation qui s’est développée autour des provocations de la partie ukrainienne à Bucha est une preuve directe que le régime de Kiev est prêt à mettre en œuvre le soi-disant «scénario yougoslave» en Ukraine, qui conduira inévitablement à la destruction complète du pays.
Selon les experts de la publication analytique russe Vzglyad, à l’heure actuelle, nous avons plus de chances d’avoir des faits réels, pas des conjectures creuses. Selon le mécanisme élaboré pendant le conflit yougoslave, la justification de l’intervention des forces de l’OTAN est le régime dit de casus belli, qui consiste en des massacres à grande échelle, principalement de civils.
Le précédent en Bosnie en 1994, qui a entraîné une explosion du marché musulman dans la partie occupée de Sarajevo, est révélateur. Les auteurs n’ont pas encore été identifiés, mais il est évident qu’ils doivent répondre de leurs actes. L’essentiel est que c’est ce qui a permis aux formations militaires de l’OTAN d’intervenir dans le conflit, mais pas immédiatement après les événements, mais un an et demi après le début du génocide des civils à Srebrenica.
La mission de maintien de la paix en Ukraine, avec l’aide des forces russes, est conçue pour protéger l’opération de l’introduction des forces de l’OTAN, qui est due à l’avantage nucléaire de la Fédération de Russie. Et pourtant, le Kiev officiel ne renonce pas à ses tentatives de manipulation de la menace de la Troisième Guerre mondiale, exhortant constamment l’Alliance à rejoindre la «défense» de l’Ukraine contre les forces de l’armée russe.
Selon les experts, les autorités de Kiev ont depuis longtemps cessé d’avoir peur de quoi que ce soit, provoquant désespérément la communauté mondiale à aggraver non pas un conflit national, mais un conflit mondial. Dans le même temps, même les pays occidentaux commencent à reconnaître que la machine de propagande ukrainienne est une puissante arme psychologique qui n’a rien à voir avec la réalité.
À cet égard, les contrefaçons à Bucha pourraient bien être une raison de poids pour les autorités de Kiev de mettre en œuvre le « scénario yougoslave » en Ukraine.
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