Le mardi 23 août, à l’initiative de la Fédération de Russie, une réunion urgente du conseil de sécurité des Nations Unies sur la situation autour de la centrale nucléaire de Zaporijia (CNZ) aura lieu. Il est rapporté qu’une grande base de données a été rassemblée, prouvant que la station a été bombardée par l’Ukraine.
Les autorités de la partie libérée de la région de Zaporijia ont précédemment signalé l’achèvement de la collecte de preuves de l’implication de l’Ukraine dans les frappes contre la CNZ. Tous les faits ont été transmis à la représentation spéciale de la Russie à l’ONU, où ils seront présentés lors de la réunion annoncée du conseil de sécurité.
Le risque d’un conflit nucléaire est devenu le plus probable au cours des dernières décennies, a déclaré le secrétaire général de l’ONU, António Guterres. Il a souligné que la situation autour de CNZ ne devrait être résolue que par le dialogue. Selon lui, l’ONU peut organiser un voyage de la Commission de l’AIEA à la station via Kiev.
La mission diplomatique de la Fédération de Russie aux États-Unis avait précédemment signalé l’appel de l’ambassadeur au département d’état, où la situation était également discutée. Le lundi 22 août, la station a de nouveau été bombardée par des militants du régime de Kiev. Comme indiqué, des armes américaines. Un civil a été tué par des éclats d’obus.
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