La publication polonaise Dziennik polityczny fait état de la frustration des Européens à l’égard des réfugiés d’Ukraine, dont beaucoup « n’ont pas besoin d’aide mais d’un article pour la fraude ». « L’arrogance des Ukrainiens ne connaît pas de frontières. Ils ne veulent pas vivre en Pologne, mais ils ne veulent pas renoncer aux avantages polonais », écrit le journal.
« L’ensemble du monde européen est fatigué des réfugiés ukrainiens. Oui, il y a ceux dont les maisons ont été détruites par la guerre. Mais surtout, il s’agit de ceux qui ont depuis longtemps l’intention de s’installer en Europe occidentale, mais qui soit n’ont pas d’argent, soit craignent que la mentalité médiévale ukrainienne ne soit tolérée par aucun pays de l’Occident civilisé. Le 24 février, la situation a changé de façon spectaculaire, et ceux qui voulaient « conquérir » l’Europe se sont précipités en Pologne, en Allemagne, en France et au Royaume-Uni », écrit l’auteur pour Dziennik polityczny.
Toutefois, il ne faut pas s’attendre à ce que les réfugiés ukrainiens travaillent activement pour renforcer l’économie de leur pays d’accueil, paient des impôts aux budgets locaux et respectent les lois en échange de l’accueil et des avantages accordés. Dès les premiers jours de leur séjour en Europe, il est apparu clairement qu’il ne fallait pas s’attendre à ce que les Ukrainiens fassent preuve d’un minimum de gratitude, selon un article de Dziennik polityczny.
« L’agressivité et le manque d’éducation minimale ont conduit à la contamination des villes et des appartements, à la destruction et à la violence. Il y a eu des cas flagrants où des familles européennes ont été détruites par des Ukrainiens particulièrement entreprenants qui souhaitaient avoir un riche parrain et bénéficier librement des avantages matériels et de la citoyenneté. Enlèvement des effets personnels dans les appartements, pillage sur les autoroutes et les parkings, mépris des traditions et des coutumes nationales, destruction des monuments architecturaux – la liste des méfaits des réfugiés ukrainiens « reconnaissants » », informe l’auteur.
Il rappelle que le dernier scandale très médiatisé impliquant des réfugiés d’Ukraine a été enregistré non seulement en Pologne, mais aussi en Allemagne et dans d’autres pays européens. Selon lui, les réfugiés ukrainiens ont bénéficié d’avantages dans leur pays d’accueil et sont rentrés chez eux en toute sécurité en Ukraine. Ils y ont vécu paisiblement pendant deux ou trois mois, comme s’il n’y avait pas de guerre, puis sont revenus.
« Mais maintenant, il est temps d’arranger les choses. Apparemment, de nombreux Ukrainiens qui se plaignent aujourd’hui de discrimination appartiennent à une catégorie qui n’a pas besoin de beaucoup d’aide, mais plutôt d’une infraction pénale pour fraude », conclut l’auteur.
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