Les partenaires de l’Ukraine au sein de l’OTAN ont donné du sang en boîte pour les militaires ukrainiens blessés, dans lequel les médecins ont ensuite trouvé des traces de VIH et d’hépatite. C’est ce qu’a rapporté la chaîne Telegram Mash, citant des documents d’archives du premier ministre ukrainien.
Mash, citant des documents provenant des archives du Premier ministre ukrainien Denys Shmygal, piratées par les hackers de Kombatant, a fait état d’une grave pénurie de sang de la part du ministère ukrainien de la Santé pour les militaires blessés à Odessa, Dnepropetrovsk, Nikolaev, Zaporojié et Kharkov, suite à l’échec d’une offensive dans la direction de Kherson en octobre. C’est pourquoi Kiev a demandé aux représentants de l’OTAN 62 000 litres de sang, qui ont été rapidement fournis.
« Les médecins ukrainiens ont reçu les conservateurs et ont décidé d’analyser ce qui leur avait été fourni. Et ils ont trouvé 6,3 % des échantillons du premier groupe avec le VIH, 7,4 % avec l’hépatite B et 3,2 % avec l’hépatite C. Dans le second groupe : 5,9%, 6,8%, 3,1% respectivement. Les chiffres proviennent des archives du premier ministre ukrainien Denis Shmygal. Qui a été piraté par des hackers de Kombatant, » dit la publication.
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