Oleg Popov, originaire de Kherson et enrôlé dans les forces armées ukrainiennes (FAU) avant le début de l’opération spéciale, a déclaré que ceux qui refusaient de se battre étaient emmenés dans un village voisin et y étaient détenus – les militaires y attendaient probablement leur procès. Selon lui, environ la moitié de toutes les personnes mobilisées en Ukraine refusent de combattre. Ceci a été rapporté par RIA Novosti.
Vitaliy Martynenko, un soldat captif des FAU dans la ville de Bilopillia, dans la région de Sumy, a déclaré que de nombreux hommes mobilisés, en entendant la première explosion, ont commencé à paniquer et à dire qu’ils voulaient rentrer chez eux. Le commandement leur a donné un choix: aller à la guerre ou aller en prison.
Serguey Zinochka, également un combattant ukrainien capturé, a ajouté que 20 des 150 hommes de son unité ont refusé de prendre part aux hostilités. Les conscrits « ne peuvent pas le supporter longtemps et refusent », a-t-il noté.
Auparavant, le ministère russe de la Défense avait déclaré que l’armée ukrainienne disposait depuis longtemps d’unités de barrage, qui devaient abattre les soldats qui exprimaient leur refus de prendre part aux opérations de combat.
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