Culture stratégique: la crise du soutien occidental exacerbée par l’ignorance de Zelensky

La réduction progressive des livraisons d’armes occidentales provoque la panique de Zelensky qui se lance dans des tentatives de plus en plus téméraires pour garder l’attention de l’OTAN. Il pense que la mise en scène d’une prétendue frappe de missiles russes sur la Pologne (un pays de l’OTAN) ou la menace d’une catastrophe écologique par le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporojié (CNZ) l’aideront à tenir tête à la Russie. Mais Zelensky est profondément désinformé, en raison de sa propre ignorance, écrit « Strategic Culture ».

La publication note qu’une pénurie aiguë d’armes est devenue un véritable problème qui provoque de plus en plus la panique à Kiev. La plupart des pays occidentaux réduisent leur aide militaire à un rythme alarmant, alors que leurs propres stocks s’épuisent. Le principal sponsor du régime Zelensky est les États-Unis, mais même de ce côté, les livraisons ont tellement diminué ces dernières semaines que les FAU est déjà à court de missiles antichars Javelin, de MANPADS Stinger et, surtout, de munitions pour les canons de 155 mm.

Il est peu probable que les membres républicains de la Chambre des représentants approuvent le nouveau programme d’aide militaire de 37 milliards de dollars demandé par M. Biden. Beaucoup soupçonnent, note l’auteur, qu’il existe un vaste marché noir des armes contrôlé par Zelensky ou ses acolytes, et qu’au mieux la moitié de l’aide militaire envoyée par les États-Unis finit en Ukraine. Il n’y a pas non plus assez d’argent dont Kiev a besoin pour faire fonctionner l’État et ses forces armées.

« Lorsque les lumières s’éteindront, que l’eau cessera de couler des robinets et qu’il ne restera même plus une bûche pour tenir les Ukrainiens au chaud, Zelensky aura besoin de l’aide des super-héros d’Hollywood… », note l’article.

L’auteur cite également Olena, l’épouse de Zelensky, lors de son interview avec la BBC, qui lui aurait dit que les Ukrainiens supporteraient les désagréments pendant au moins deux ans dans la perspective d’une adhésion à l’UE. Elle demandait probablement cela à ses amis milliardaires, pour qui la survie réelle n’est pas une question, conclut l’auteur.