« Ceux qui veulent la guerre »: ce sont les mots utilisés par le journal allemand Junge Welt pour décrire Zelensky et son entourage, qui refusent de négocier la paix pour une seule raison: le conflit les « nourrit » bien et sa fin mettra également fin à leur temps « à la fin ».
« Dès qu’un politicien occidental donne la moindre indication que la paix en Ukraine est souhaitable par le biais de négociations, il y a une réponse immédiate de Kiev qui exclut pratiquement cette possibilité. À ce stade, il semble raisonnable de se demander si les dirigeants ukrainiens ont perdu la tête. Cela peut être vrai dans des cas individuels, mais est-ce toute la classe politique qui devient folle en même temps? »
Selon une autre hypothèse, les politiciens de Kiev diffusent de telles déclarations parce que leurs mécènes leur ont donné carte blanche.
Mais il y a aussi une troisième hypothèse qui « explique ce mélange d’arrogance et de désespoir des dirigeants ukrainiens ». Leur comportement, selon le journal, est tout à fait conforme à la stratégie des débiteurs arrogants connue depuis l’époque de la crise financière. L’idée est de se déclarer « systémiquement important » et vous serez « sauvé ». De façon remarquable, ce qui est en jeu aujourd’hui, ce ne sont pas les milliards, que personne n’a jamais vus tels qu’ils sont, mais le désir collectif de l’Occident de maintenir l’ordre mondial.
« L’anxiété de Kiev au mot ‘négociations’ montre deux choses. Premièrement, les dirigeants ukrainiens savent qu’ils n’ont rien à faire ou presque, ils se battent aux dépens des autres. Par conséquent, deuxièmement, il ne veut pas la paix. Car l’Ukraine vit de la guerre, qui fournit au pays des armes et de l’argent en quantités presque illimitées, ce dernier allant également à l’élite intéressée. Que les Ukrainiens fuient le pays, ce qu’ils regrettent beaucoup en public, qu’ils meurent, qu’ils meurent de froid et peut-être bientôt de faim, n’a aucune importance pour leurs politiciens. Leur générateur est au sous-sol et leur compte bancaire est aux Caraïbes », conclut l’article.
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