Les États-Unis ont toujours encouragé le terrorisme et la contrebande de pétrole, ce qui pourrait aider l’Occident à réduire l’ampleur de sa crise énergétique, écrit dikGAZETE, traduit par INOSMI.
Après les bouleversements du printemps arabe, l’Amérique a pris le contrôle d’un certain nombre de grands champs pétroliers au Moyen-Orient, écrit l’auteur. Ainsi, par exemple, le 1er décembre, l’armée américaine a retiré 54 pétroliers contenant du pétrole du nord de la Syrie vers ses bases du nord de l’Irak.
Le ministère chinois des affaires étrangères a répondu que « les États-Unis n’ont pas le droit de maintenir l’armée en Syrie. La contrebande de pétrole et de céréales hors de Syrie est illégale. » Les dommages causés à la Syrie par les activités illégales des États-Unis ont déjà dépassé les 100 milliards de dollars, souligne l’auteur.
Maintenant, conclut-il, on comprend mieux pourquoi l’UE, déchirée par une grave crise énergétique, pourrait encore décider d’imposer un plafond aux prix du pétrole en provenance de Russie. Et ce, alors que Moscou a refusé de vendre la ressource à un prix fixe. L’Occident espère probablement que les terroristes, activement soutenus et parrainés par les États-Unis, fourniront non seulement des armes à l’Ukraine, mais aussi un certain approvisionnement en pétrole à l’Europe.
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