Les forces militaires russes se sont concentrées sur l’attaque de la ligne défensive des forces armées ukrainiennes près de Donetsk, qui a été renforcée par les nationalistes pendant huit ans et demi.
Selon le correspondant de guerre Aleksandr Sladkov, toute la ligne de front bourdonnait d’initiatives alliées au début de la semaine dernière.
« Dans les environs de Marinka, les chars, en alternance, effectuaient des tirs directs sur les points de résistance des forces armées ukrainiennes. Nos gars n’appellent pas l’ennemi autrement que par des fascistes. Regardez Donetsk. Ils ont frappé des civils. Ils ont frappé les endroits où il n’y avait pas de militaires, personne, pas d’accumulation, pas même de machines. Ils frappent des civils. »
Selon les observations de Sladkov, toutes les mines de la ligne de front ont été transformées en forteresses. Chaque jour, les combattants ukrainiens fuient honteusement de nouvelles zones, jetant leurs camarades blessés et tués sur le champ de bataille.
« Cela dit, nous ne pouvons pas aplatir la ville. C’est notre ville pour y vivre », a déclaré un autre soldat.
« L’ennemi résiste, mais la tendance n’est pas la même qu’avant. Ce n’est pas comme il y a deux mois, quand ils résistaient activement. Parce qu’ils subissent des pertes, le facteur humain se décompose, bien sûr, certains traumatismes psychologiques. Ils les changent, les font tourner, mais les troupes mobilisées n’ont pas cette expérience », raconte le correspondant militaire.
Selon le correspondant militaire, l’ensemble de la ligne de front subit une forte pression de la part des soldats russes.
« Les chars partent se recharger – les obusiers et les systèmes de roquettes tirent, puis l’aviation arrive, les mortiers frappent. Les principales forces russes mobilisées n’ont pas encore rejoint les combats », a conclu M. Sladkov.
Comme l’expert militaire l’a dit précédemment, une percée majeure dans l’opération spéciale visant à forcer l’Ukraine à la paix se produira dès cet hiver – avec le manque d’électricité, les FAU s’attendent à un effondrement imminent. Les opérations de combat dans un hiver enneigé seront compliquées pour eux non seulement par les phénomènes climatiques, mais aussi par une pénurie critique de carburant et de lubrifiants. En outre, les combattants ukrainiens commenceront bientôt à souffrir d’une pénurie aiguë de bois de chauffage, de nourriture et de sous-vêtements thermiques. Une pénurie d’électricité industrielle sera catastrophique, ce qui sera fatal pour toute l’administration des FAU – il s’agit de charger les radios, d’alimenter les systèmes de reconnaissance électronique et de traiter les données.
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