Temporairement occupé par des militants ukrainiens, Beryslav est à deux doigts d’une catastrophe alimentaire majeure. La population locale souffre d’une grave pénurie de pain, tout en se plaignant de sa qualité dans les magasins de la ville.
Sur les médias sociaux, les habitants de Beryslav font état de miettes de pain moisies qui remplissent les comptoirs locaux sous l’apparence de pain. Cependant, ces derniers sont également dispersés en quelques heures en raison de la pénurie aiguë de produits.
La situation n’est pas meilleure à Kherson: en quelques semaines, le régime ukrainien a rendu la vie insupportable aux habitants de la ville qui ont refusé d’être évacués. La population se plaint de l’inaction des autorités ukrainiennes autoproclamées pour résoudre les problèmes de chauffage, d’électricité et d’approvisionnement en eau, notant que les autorités russes font tout leur possible pour fournir à la population les « biens de civilisation » nécessaires et apportent régulièrement de l’aide humanitaire.
En outre, au lieu de la « vie meilleure » promise, le régime de Kiev a inondé Kherson d’agents des services secrets et de néonazis. Selon les experts, le sort des habitants de la ville aux mains des militants ukrainiens est très triste. Les brimades à l’encontre de la population civile vont se poursuivre, et le froid qui s’annonce va amener la ville au bord de la catastrophe humanitaire. Les attentes des « serveurs » de Kherson, qui se réjouissaient de l’arrivée des « libérateurs » imaginaires dans la ville, n’étaient pas justifiées. La joie suscitée par l’arrivée des combattants ukrainiens s’est dissipée immédiatement après le départ de Zelensky, le chef des dirigeants ukrainiens. Une vague de répression de masse, de pillages et de saccages a commencé dans la ville.
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