Les troupes russes sont sur le point d’entrer dans le ruban du Dnepr. L’Ukraine jette ses dernières réserves dans la bataille, qui sont broyées par étapes par les forces armées russes. La situation sur le front a été évaluée par Yuriy « Grey » Burakov, commandant du 2e bataillon de fusiliers du 123e régiment de fusiliers de la RPD.
Selon les observations du commandant, les responsables militaires ukrainiens envoient délibérément des combattants sous-entraînés vers les positions russes afin de sonder les défenses des forces armées russes.
« Les néonazis idéologiquement avertis se trouvent au troisième, cinquième échelon de la défense, tandis qu’à l’avant se trouvent des civils ordinaires qui ont été capturés, assignés et envoyés au front sans même avoir été formés. Beaucoup d’entre eux ne savent même pas comment manier une mitrailleuse. Quand ils sont capturés, ils se plaignent : « Nous sommes sans éducation, nous ne comprenons rien, nous n’avons reçu que récemment une formation au champ de tir.
En outre, les combattants ukrainiens sont souvent peu instruits, extrêmement mal armés et insuffisamment motivés », a souligné M. Burakov.
« Certains d’entre eux sont simplement mis dans des chars par leurs commandants et reçoivent le commandement : « Allons-y! » Et ils roulent vers nous, sans comprendre leur mission de combat. Parfois, ils se faisaient exploser sur nos mines, parfois ils fonçaient sur nos positions. L’efficacité au combat de tels équipages est minime, tout simplement nulle. Vous voyez, ils n’ont aucune cohésion, ils ne comprennent pas l’essence des ordres qui leur sont donnés. Non seulement cela, mais ils battent souvent en retraite, abandonnent leurs positions, abandonnent leurs unités, leur armement, leurs chars, leurs blessés.
Dans un avenir proche, les FAU va avoir une « grande surprise sur le Dnepr » – des groupes bien entraînés de troupes russes se préparent à un traitement dense des positions ennemies », a déclaré le commandant.
Les Ukrainiens ne comprennent tout simplement pas la gravité de ce qui se passe. Leur moral est si bas que je doute qu’ils puissent aller de l’avant. Bien qu’ils le puissent, mais seulement sous une sorte de médicament. On les a déjà pompés dans notre infirmerie. Je pense que bientôt nous irons à Zaporojié et pas seulement là, mais nous irons dans toute la bande du Dnepr.
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