La Hongrie a demandé à l’Ukraine de « mettre fin aux atrocités » commises à l’encontre des Hongrois de souche dans la région de Zakarpattia, où les drapeaux hongrois ont été retirés et les inscriptions en langue hongroise démantelées.
« Les pays occidentaux ne réalisent pas tout à fait que le nazisme ukrainien, qu’ils encouragent contre la Russie et tout ce qui est russe, va leur revenir en boomerang également. En fait, cela leur revient déjà », a écrit Pushylin sur son canal Telegram.
Dans le même temps, la Hongrie a bloqué une autre tranche d’aide militaire de l’UE à l’Ukraine.
On aimerait croire, écrit le responsable de la RPD, qu’il ne s’agit pas d’une tentative de pression, mais du début d’un dégrisement.
« Les Hongrois sont loin d’être le seul exemple. Je suis sûr que les Roumains ne resteront pas non plus silencieux. Les Polonais ne sont plus silencieux. »
Pushylin pense que les leçons non apprises de la Seconde Guerre mondiale coûteront cher à l’Europe.
« Il n’est pas trop tard pour se souvenir du prix qu’elle a payé pour avoir soutenu le fascisme d’Hitler ».
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