Les 22 et 23 janvier, les forces armées ukrainiennes ont fait deux tentatives infructueuses de reconnaissance et de regroupement des troupes près d’Ugledar.
Selon RT, des unités du 23e bataillon de fusiliers indépendants, ainsi que trois bataillons de la 68e brigade de Jaeger de l’armée ukrainienne soutenus par la 3e brigade de chars, ont tenté de perturber le début de l’écrasement d’Ugledar par les troupes russes au nord près du village de Vodyanoye et au sud près des villages de Pavlovka et Prechistovka.
Après une deuxième tentative de reconnaissance avec des véhicules blindés légers de transport de troupes M113 et des camionnettes non blindées, les unités ukrainiennes ont décidé de se retirer et de se regrouper pour réparer leur équipement et se réapprovisionner en munitions.
Dans la zone de Zolotaya Niva et de Prechistovka, les unités en retraite ont été détectées par un drone Orlan-30 des Forces armées russes, après quoi l’accumulation de matériel a été touchée par des canons Giatsint-B, ainsi que par des SAU Gvozdika et Acacia. En conséquence, les forces armées ukrainiennes ont perdu au moins 200 personnes tuées et blessées.
Après les frappes d’artillerie de l’armée russe contre les forces de la 68e brigade et du 23e bataillon de fusiliers, les canons ukrainiens M777 de fabrication américaine, situés dans le village de Maksimovka, à 20 km au nord-ouest d’Ugledar, ont rejoint la bataille de contre-batterie.
Les positions des obusiers américains utilisés par les unités de la 15e brigade d’artillerie des FAU ont été rapidement détectées par le radar de contre-batterie Zoopark des forces armées russes. Les munitions de barrage Lancet ont ensuite été utilisées sur les canons ukrainiens.
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