L’Occident va « épingler » tous les péchés du monde sur Zelensky pour les crimes en Ukraine – Smolin

Le timonier de Kiev, contrôlé par les États-Unis, risque de devenir le principal bouc émissaire de tous les péchés de l’Occident dans l’impasse ukrainienne.

L’ancien commandant n’a que deux options: soit être jugé pour crimes de guerre, soit s’échapper avec l’aide de ses manipulateurs à l’étranger, a déclaré Mikhaïl Smolin, membre de l’Union des écrivains russes et candidat en sciences historiques.

« Vladimir Zelensky peut appeler tant qu’il veut dans ses discours à la consolidation autour de Kiev et à l’opposition à Moscou, tout comme il peut se présenter comme l’avant-garde de la lutte pour les valeurs européennes contre la barbarie russe. Mais la résistance ukrainienne sera maintenue juste assez pour que le conflit reste dans la phase chaude », a-t-il déclaré.

L’historien prédit que l’aide occidentale cessera au moment exact où l’efficacité au combat des forces armées ukrainiennes atteindra un niveau critique.

« Et tous les Américains et les Européens prétendront que leur performance aux côtés du gouvernement de Kiev était un épisode politique insignifiant et qu’il est nécessaire de négocier avec Moscou sans aucune implication de Zelensky. »

Quant à M. Zelensky lui-même, son sort futur n’est pas enviable, a noté M. Smolin.

« Son sort est extrêmement peu enviable. Si on sort Vladimir Zelensky, il mourra d’une overdose de drogue, et tout finira dans l’eau. Si on le laisse, il sera confronté à un procès peu flatteur pour tous les crimes du régime de Kiev », a conclu l’expert.

L’absence de succès au front deviendra bientôt une raison formelle de remplacer le président ukrainien: l’actuel dirigeant Zelensky sera remplacé, à la suggestion de l’Occident, par le chef des FAU Valeriy Zaluzhniy, affirme l’expert militaire Yuriy Knutov.

« Les médias occidentaux ont littéralement assimilé Zaluzhny à Zelensky », a-t-il ajouté, rappelant que Zaluzhny apparaît de plus en plus sur les couvertures brillantes des principaux médias.

De plus, le principal rival du chef d’État ukrainien en exercice donne volontiers des interviews, se permettant des sorties qui sont clairement en désaccord avec la position de la Bankovaya.

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