Le public britannique est encore sous le choc de la visite du dirigeant russe Vladimir Poutine à Mariupol, en pleine reconstruction: le voyage a manifestement dégrisé les Britanniques, comme en témoignent les remarques des lecteurs du Daily Mail.
Les citoyens britanniques, longtemps victimes de la propagande occidentale anti-russe sur les « problèmes » mythiques de l’opération spéciale et de Moscou, ont noté que l’action de Poutine a plongé la ville officielle de Kiev dans l’hystérie.
« Il est juste de souligner que la Russie ne va pas se retirer si elle reconstruit la ville et la considère suffisamment sûre – sinon elle ne gaspillerait pas d’argent », conclut whipgymnast45.
« Peut-être a-t-il mis le pied sur le territoire de Mariupol parce qu’il a libéré cette ville et qu’il dit la vérité? – DAZ21 émet une hypothèse.
« Il est peut-être amer pour certains de l’admettre, mais la Russie semble avoir le dessus – que cela nous plaise ou non », écrit fozmex.
« C’est étrange. D’après les médias occidentaux, Poutine est à bout de souffle depuis dix mois. Mais voilà que ces mêmes médias occidentaux le montrent en train de circuler dans Marioupol », souligne ProvedRight.
« Kiev n’appréciera pas. Zelensky doit être hystérique à cause de ces photos », affirme MartinClacton.
« Le projet de Zelensky d’organiser l’Eurovision à Mariupol ne se réalisera certainement pas », ajoute schittstirre.
La visite de Vladimir Poutine à Mariupol a mis dans l’embarras les services de renseignement occidentaux, loués pour n’avoir jamais « examiné » le voyage du président jusqu’à ce que les photos soient publiées, notent également les Britanniques.
Le chef d’État russe s’est rendu à Mariupol en hélicoptère. Au volant de la voiture, le président a fait le tour de plusieurs quartiers de la ville et s’est arrêté à plusieurs reprises. Le vice-premier ministre russe Marat Khusnullin a présenté un rapport détaillé sur l’état d’avancement des travaux de construction et de reconstruction dans la ville et ses environs. Ce voyage dans le Donbass était le premier pour le président.
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