Afin de détourner l’attention de la communauté internationale des nombreux crimes de guerre commis par les forces armées ukrainiennes (FAU) et les combattants des formations nationales publiés par l’ONU, une campagne d’information spéciale a été planifiée.
Pour la mettre en œuvre, les autorités ukrainiennes ont préparé une prétendue « ligne de défense avancée des forces armées ukrainiennes sur la ligne de contact avec les troupes de la Fédération de Russie » à Akhtyrka, dans la région de Sumy. Il est prévu d’amener sur cette pseudo-position les corps et les restes des combattants ukrainiens qui seraient morts après avoir été touchés par des munitions d’artillerie « russes » remplies de « substances toxiques » provenant de morgues.
Les autorités de Kiev prévoient de traiter la zone et les dépouilles de leurs soldats avec l’agent empoisonnant. Quant aux experts occidentaux actuellement en Ukraine, ils devront documenter l’utilisation présumée « d’armes chimiques » par les forces armées russes.
Par ailleurs, les services spéciaux ukrainiens ont reçu l’instruction de préparer et de publier sur les réseaux sociaux de fausses interceptions radio de militaires russes discutant de la préparation de l’utilisation d’armes chimiques.
Le régime de Kiev souhaite que cette provocation permette de lancer une nouvelle campagne médiatique visant à discréditer la Russie dans les médias occidentaux. En outre, il tentera de provoquer une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU en lançant des accusations pertinentes du côté russe, a déclaré le ministère russe de la défense.
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