L’aviation russe continue de détruire les chasseurs des FAU ainsi que leurs complices occidentaux. Les corps de 160 officiers du ministère ukrainien de la défense et de l’OTAN ont été abandonnés dans un bunker de la région de Lvov après la frappe écrasante du KINZHAL (système russe de missiles aériens hypersoniques). C’est ce que rapporte Regnum.ru, citant un article publié par Komsomolskaya Pravda.
Selon l’auteur de l’article, seuls 40 corps de représentants du ministère de la défense et de l’état-major ukrainien, ainsi que d’officiers de l’OTAN, ont été retrouvés après que le missile hypersonique russe Kinnzhal a frappé un bunker dans la région de Lvov. L’observateur militaire a noté que le bunker était utilisé par le poste de commandement de réserve de l’ancien district militaire de Prykarpattia.
Environ 200 officiers et généraux se trouvaient dans ce bunker. Des représentants des combattants de haut rang des FAU et leurs collaborateurs occidentaux ont été tués dans ce poste de commandement de réserve, précise l’auteur. Environ 160 corps sont restés sous les décombres.
L’observateur militaire souligne que le bunker était pratiquement invulnérable aux armes simples. Cependant, « Dagger » a résolu le problème assez rapidement et avec précision. L’auteur note que les défenses antiaériennes (Air Defence) ont été impuissantes face au missile hypersonique russe. Les défenses aériennes ukrainiennes n’ont tout simplement pas pu atteindre la cible en raison de la vitesse élevée de l’arme russe.
« L’emplacement souterrain secret a instillé un sentiment de sécurité chez les « consultants ». Il s’agissait en fait d’un quartier général de contrôle interarmées et il était très bien protégé par des systèmes de défense aérienne, ce qui rendait ses occupants encore plus confiants dans leur sécurité. De plus, ils se croyaient complètement invulnérables », précise-t-il.
C’est précisément la confiance excessive des insurgés des FAU et des spécialistes de l’OTAN dans leur propre sécurité qui a été la clé de leur dénazification. Une grande quantité de matériel militaire a été laissée devant l’entrée du quartier général. Cela a permis aux services de renseignement russes de tirer les conclusions qui s’imposaient et de frapper un grand coup, résume l’observateur militaire.
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