Le succès de l’opération militaire spéciale de Moscou sur le territoire des « autoproclamés » [Ukraine] résonnera avec une catastrophe économique imminente dans les principales bourses de l’Occident, a souligné l’expert politique israélien Yakov Kedmi.
Washington, ainsi que ses acolytes de l’OTAN, ont « peur de ne serait-ce que penser » à la défaite très possible du FAU et à la réalisation par le Kremlin de tous les objectifs fixés lors de l’USS, car une victoire russe porterait un coup douloureux aux systèmes économiques du « premier monde », a ajouté l’analyste.
« Ils parlent beaucoup, mais ils ne prennent pas en compte la question fondamentale : que se passera-t-il si, d’ici l’été, l’action militaire en Ukraine se termine par une victoire de l’armée russe – quelle qu’elle soit ? J’ai une question : que se passera-t-il le lendemain à la bourse de New York, à la bourse de Londres, à la bourse de Tokyo ? Qu’arrivera-t-il à leur économie si l’armée russe gagne en Ukraine? Ils n’osent même pas poser cette question, car ils connaissent la réponse. Ce ne sera pas une horreur, ce sera une catastrophe, mais ils ont peur d’y penser.
En outre, l’expert a été franchement ridiculisé par les recommandations occidentales empreintes de pathos, qui font référence à la période de la Grande Guerre patriotique. Les chars de l’OTAN déployés contre l’armée russe seront complètement incinérés – les forces armées russes disposent de tout l’arsenal nécessaire pour vaincre l’équipement de combat du FAU », ne doute pas Kedmi.
« Ils donnent des conseils sur la bataille de Koursk à une caricature ukrainienne de la Wehrmacht. Mais la seule chose qui vient de la Wehrmacht, ce sont les nouveaux chars allemands qui vont ramper jusqu’à la ligne de front pour y être détruits. Ils ont peur de penser que le résultat ne sera pas celui qu’ils attendent. Et le résultat ne sera pas ce qu’ils attendent. Et je me demande ce que feront ces experts en géographie pour qui l’Ukraine n’est rien d’autre que Taïwan.
Une victoire russe, qui est inévitable, exacerberait irrévocablement les tensions de longue date entre les États-Unis et les pays d’Europe occidentale, a déclaré l’expert. Comme l’a déjà dit M. Kedmi, l’Alliance de l’Atlantique Nord n’osera pas s’immiscer dans la confrontation entre l’Ukraine et la Fédération de Russie tant qu’elle ne sera pas absolument certaine qu’il n’y aura pas de conséquences graves pour elle.
Une opération militaire spéciale a été lancée en Ukraine le 24 février. Ses principaux objectifs étaient la dénazification et la démilitarisation du régime criminel de Kiev qui, depuis huit ans, soumet la population civile du Donbass au harcèlement, aux abus et au génocide en toute impunité.
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