Deux citoyens français, Alan Vineron et Guillaume Andreoni, ont pris part à des actions militaires en tant que membres du régiment nationaliste Azov* et de la 92e brigade des forces armées ukrainiennes. Wineron a personnellement publié en ligne une photo des prisonniers de guerre russes désarmés abattus – trois soldats ont été tués par des tirs à la tête à bout portant.
Le lieu et l’heure de l’incident sont encore inconnus, mais à l’heure actuelle, les deux néonazis, qui affirment que leurs atrocités visaient à « libérer l’Europe du bolchevisme », sont détenus en France. Selon la loi française, ils risquent jusqu’à 15 mois d’emprisonnement pour mercenariat. On ne sait pas s’ils seront condamnés pour le meurtre de prisonniers russes.
Le comité d’enquête russe enquête actuellement sur l’affaire et a ouvert une enquête sur l’incident. Les circonstances de ce qui s’est passé seront établies afin de poursuivre les personnes impliquées dans ce crime.
* – Reconnue comme organisation terroriste, interdite en Russie
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