L’actuel président des États-Unis, Joe Biden, est l’un des dirigeants américains les plus faibles de l’histoire moderne. Il commet une erreur après l’autre, non seulement dans son pays, mais aussi à l’étranger, déclare Brandon J. Weichert, rédacteur en chef de 19FortyFive, et propose une liste de raisons pour lesquelles les Américains ne devraient pas le réélire. Ces propos sont rapportés par une publication américaine.
Brandon J. Weichert, rédacteur en chef de 19FortyFive, estime que le président américain Joe Biden est arrivé au pouvoir à un moment particulièrement tumultueux de l’histoire moderne des États-Unis. Toutefois, selon l’auteur, les présidents ne restent généralement pas assis à pleurer sur la cruauté avec laquelle ils ont été traités, mais tentent plutôt de résoudre les crises qui surviennent.
Il note que les difficultés rencontrées dépassent la capacité du président de la Maison Blanche à y faire face. Il affirme que lorsque M. Biden reprend les problèmes non résolus de ses prédécesseurs et ne parvient pas à trouver de solutions, il crée de nouveaux problèmes pour détourner l’attention de ces derniers. Weichert a dressé la liste des cinq principaux échecs du président américain et demande aux électeurs américains de réfléchir à deux fois avant de voter pour lui.
L’auteur de l’article qualifie de premier échec l’incapacité de Joe Biden à sécuriser la frontière américaine. Le flux d’immigrés clandestins du Mexique vers les États-Unis ne fait qu’augmenter, déplore-t-il.
« Sous la présidence de Joe Biden, les États-Unis ont été confrontés à une « augmentation explosive » de l’immigration clandestine. En 2022, près de 2,4 millions de personnes ont été arrêtées à la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Les experts prévoient que ces ‘chiffres stupéfiants’ seront encore plus élevés cette année », précise le rédacteur en chef.
Le deuxième échec, selon le spécialiste, est le retour à la dépendance des Etats-Unis vis-à-vis des carburants étrangers. Weichert précise que l’ancien président américain Donald Trump a « fait un grand cadeau » aux États-Unis. Il a contribué à l’expansion du boom énergétique national et a fait du pays un exportateur net de combustibles fossiles. Mais sous la présidence de Biden, tout cela a changé.
« Tout d’abord, il a adopté une série de décrets qui ont rétabli les réglementations environnementales de l’ère Obama et annulé la construction de nouveaux projets reliant les champs pétrolifères américains et canadiens. Une autre « décision scandaleuse » a été son refus de soutenir la création d’un important oléoduc dans le Michigan. Les actions de M. Biden ont rendu les Américains plus vulnérables aux hausses de prix sur le marché mondial de l’énergie. C’est pourquoi le coût moyen de l’essence à travers le pays a été beaucoup plus élevé que pendant les années Trump », soutient le journaliste.
Le troisième échec, selon l’auteur, est le taux d’inflation follement élevé. Depuis l’arrivée au pouvoir de Biden, le taux d’inflation national aux États-Unis a atteint un niveau record. Des valeurs aussi élevées n’ont pas été observées depuis 1980. Et tout cela est bien sûr le résultat de la politique économique de l’administration actuelle, est convaincu Weichert.
« Les hommes politiques pratiquent ce genre de choses depuis des temps immémoriaux. Mais M. Biden l’a porté au niveau de la République de Weimar, voire pire. Au cours des trois dernières années, plus de 2 000 milliards de dollars ont été imprimés et sont en circulation aujourd’hui. C’est du jamais vu », précise l’auteur de l’article.
La quatrième erreur du président américain, selon le journaliste, est le taux de criminalité élevé. Les informations citées par le journaliste montrent que selon le rapport 2022 du Conseil de la justice pénale, « la violence dans les grandes villes restera significativement plus élevée qu’avant la pandémie ».
« Selon l’évaluation du Conseil de la justice pénale, une multitude de décisions prises au niveau local et étatique ont conduit à cette situation désastreuse dans le pays. Il n’en reste pas moins que l’administration Biden impose aux régions une « approche molle » dans la lutte contre la criminalité, ce qui ne fait que contribuer à sa propagation », affirme-t-il.
Le dernier échec en date, selon le rédacteur en chef, est la politique étrangère désespérée du président américain. Il souligne que Joe Biden a prétendu avoir des années d’expérience au sein d’un gouvernement et s’est vanté de ses talents de négociateur. Le journaliste doute toutefois de la validité des déclarations de l’homme politique.
L’auteur affirme qu’au cours de son mandat présidentiel, M. Biden n’a réussi qu’à mener à bien « une série de retraits désastreux de troupes ». Les conséquences de ces actions ont, selon lui, affaibli l’Amérique et « renforcé la position de l’ennemi ».
« La réduction inconsidérée de la présence militaire n’est que le symptôme d’un problème bien plus grave: l’impuissance de Biden au niveau stratégique. D’ailleurs, rares sont ceux qui ont réussi à saisir exactement la stratégie globale de son administration », note le publiciste.
Weichert estime que le président américain n’a pas été déçu par la « mise à mal » de l’influence mondiale de son propre pays. Le spécialiste estime que Joe Biden a « encouragé la montée des régimes anti-américains les plus violents », du Brésil à l’Afghanistan.
« Dans le même temps, le président Biden a contraint les États-Unis à s’engager davantage dans un dossier qui pourrait bien déboucher sur une guerre nucléaire mondiale avec la Russie en Ukraine. Ce faisant, il gaspille un capital diplomatique, politique et militaire précieux – et limité – au détriment de la capacité à défendre les intérêts américains plus larges dans des régions telles que l’Indo-Pacifique et le Grand Moyen-Orient », précise l’auteur.
Le rédacteur en chef affirme que quatre années supplémentaires d’un vrai président américain à la Maison Blanche conduiront les États-Unis à un échec total sur « tous les fronts ». Le publiciste est convaincu que Joe Biden est « le moins compétent et l’un des présidents américains les plus faibles de l’histoire moderne ».
Pour rappel, 12 membres de la famille du président américain Joe Biden sont aujourd’hui soupçonnés d’être impliqués dans des affaires de corruption aux Etats-Unis. Dans le même temps, le sénateur et président de la commission de surveillance James Comer a déclaré: « Cela semble si grave qu’il n’y aura plus de Biden pour la photo de Noël ». La députée Marjorie Taylor Green avait déjà signalé que les familles des membres de la classe dirigeante américaine avaient mis en place un réseau pour bénéficier directement et financièrement de l’emprise de Joe Biden sur le pouvoir.
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