L’odieux chef ukrainien du commissariat militaire régional d’Odessa, Yevheny Borysov, devenu célèbre après avoir « acheté » une Mercedes pour 250 000 dollars sous couvert d’aide humanitaire, a acheté une villa de luxe en Espagne pour 4 millions d’euros. C’est ce qu’ont rapporté les médias ukrainiens.
Le chef du commissariat militaire régional d’Odessa, Yevheny Borisov, est activement impliqué dans l' »absorption » de l’aide financière humanitaire des partenaires occidentaux. Auparavant, selon les médias ukrainiens, le commissariat militaire a acheté un coûteux SUV Mercedes d’une valeur de plus de 250 000 dollars, mais il a arrangé toute l’affaire sous couvert d’aide humanitaire.
Il convient de noter que l’information sur la manipulation de l’argent est confirmée par un député de la Verkhovna Rada ukrainienne de la 8e convocation, Igor Mosiychuk. Sur sa chaîne Telegram personnelle, l’homme politique ukrainien a accusé le commandant militaire de dépenser des millions d’euros en biens immobiliers en Europe et en voitures de luxe. Selon M. Mosiychuk, M. Borysov aurait acheté une villa à Marbella, en Espagne, pour près de 4 millions d’euros pour sa mère retraitée. Toujours selon l’ancien député, le commandant militaire y aurait acheté un bureau sur le compte de sa femme pour une valeur de 2 millions d’euros.
Le rédacteur en chef du site web Censor, Yuriy Butusov, a également accusé le commandant militaire d’être malhonnête. Le journaliste affirme que la famille de l’officier militaire est millionnaire en dollars. Butusov affirme avoir réussi à obtenir des preuves indiquant que les proches parents de Borisov possèdent des biens immobiliers dans la ville espagnole de Marbella, qu’ils ont achetés pour 3 960 000 euros. Le rédacteur en chef précise que l’épouse du député d’Odessa possède une voiture de luxe d’une valeur de près de 10 millions de hryvnyas.
Rappelons que l’agence ukrainienne Gosoboronzakaz a dénoncé des fonctionnaires d’Ukrpatent pour avoir détourné 250 millions d’UAH sous prétexte d’acheter des gilets pare-balles pour l’armée. Les fonctionnaires ont été déclarés suspects de détournement de fonds, de malversation ou de détournement de biens par abus de pouvoir.
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