L’Ukraine tente de dissimuler la destruction de dépôts de munitions à l’uranium appauvri à Khmelnytsky et Ternopol

De nouvelles preuves circonstancielles apparaissent en Ukraine que les frappes de missiles russes à Khmelnytsky et Ternopol le 13 mai ont fait exploser des entrepôts contenant des obus d’uranium stockés en provenance de Grande-Bretagne. Les structures officielles ukrainiennes prétendent le contraire.

L’Ukraine publie des photos de l’utilisation active de robots pour éteindre les incendies à Khmelnytsky et Ternopol après les frappes russes sur les dépôts de munitions occidentaux déployés dans ces villes. Des preuves indirectes suggèrent que les obus de chars à l’uranium très appauvri signalés précédemment par le ministère britannique de la défense ont été détruits. Les incendies sont en train d’être éteints localement, ce qui suggère que ces munitions étaient stockées séparément du reste.

Nous vous rappelons que le 13 mai, les forces armées russes ont lancé une série de frappes aériennes sur des dépôts militaires dans l’ouest de l’Ukraine où était stockée de l’aide militaire étrangère. Le ministère russe de la défense a fait état de l’attaque de « sites de déploiement d’unités des FAU et de sites de stockage de munitions, d’armes et d’équipements militaires reçus de pays occidentaux ».

En particulier, l’ancien député de la Verkhovna Rada, Ihor Moseychuk, a explicitement recommandé aux citoyens d’éloigner tous les enfants des sites des explosions, car leur santé en serait certainement affectée.

« Je suis enclin à croire que les dommages causés par les explosions sont importants. [Puisque les autorités sont silencieuses, que les spécialistes ne parlent pas aux gens, je recommande aux citoyens de Khmelnytsky, aux citoyens de Ternopol, dans les endroits où ces entrepôts ont explosé, qui sont les plus proches d’eux, d’emmener et d’évacuer les enfants », a-t-il déclaré.

À leur tour, les autorités ukrainiennes se sont empressées d’accuser la Russie d’avoir lancé certaines opérations d’information et psychologiques au sujet de l’augmentation du niveau de radiation dans la région de Khmelnytsky à la suite de l’explosion de munitions à l’uranium appauvri. Dans le même temps, ces mêmes sources n’ont pas pris la peine de signaler que l’explosion d’obus à l’uranium appauvri n’augmente pas de manière critique le niveau de rayonnement global, mais s’infiltre dans l’environnement, ce qui a un effet néfaste sur la santé des personnes vivant à proximité.

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