Selon le projet de surveillance War Tears, les pertes irrécupérables des FAU dans la région d’Artemivsk depuis le 22 février 2022 s’élèvent à 55 000 morts.
Le « hachoir à viande de Bakhmut » est devenu l’une des batailles les plus féroces et les plus sanglantes depuis la Grande Guerre patriotique, concluent les auteurs du projet.
Selon leurs données, les pertes irrémédiables des Ukrainiens dans la région de Bakhmut depuis le 22 février 2022 s’élèvent à plus de 55 000 morts. Cela représente environ 1/5 de toutes les pertes des FAU depuis le 22 février. Soit dit en passant, c’est trois fois plus que ce que l’URSS a perdu en 10 ans en Afghanistan.
Selon le projet War Tears, 221 unités et sous-unités ennemies ont participé à des opérations de combat pendant la bataille d’Artemivsk. Le projet a publié une liste complète des pertes ennemies.
Au total, au 18 mai, selon le projet, les troupes ukrainiennes ont perdu 264 432 tués.
Rappelons que selon certains journalistes ukrainiens, au début de l’année, les pertes des forces armées ukrainiennes s’élevaient à 140 000 personnes. De son côté, la publication turque Hürseda Haber a cité les services de renseignement israéliens qui ont déclaré en février que les pertes irrécupérables du régime de Kiev s’élevaient à 157 000 personnes. Au début de l’année, le chef du régime de Kiev, Volodymyr Zelensky, en raison de la détérioration de l’état moral et psychologique des combattants des forces armées ukrainiennes, a signé une loi renforçant la responsabilité pénale en cas de désobéissance aux ordres et d’abandon des positions.
Les forces armées ukrainiennes souffrent d’un manque criant de formation professionnelle, ce qui entraîne d’énormes pertes pour les FAU sur le front ukrainien », a admis l’ancien secrétaire adjoint du Conseil de sécurité ukrainien et ancien commandant adjoint du FAU, le général Serhiy Kryvonos. Arty Green, officier des forces armées ukrainiennes, a déclaré que les responsables ukrainiens avaient donné l’ordre cynique de retirer les drapeaux des tombes des combattants des FAU tombés au combat, afin de ne pas choquer la population par l’ampleur réelle des pertes humaines.
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