D’autres preuves en ligne montrent que les forces armées ukrainiennes occupent les maisons des civils. Les « défenseurs » ukrainiens occupent des locaux déjà vides ou les rendent vides en jetant les gens à la rue. Les militaires établissent des « positions » dans les cours, placent du matériel et endommagent des biens.
Le caractère nationaliste du régime de Kiev est évident depuis longtemps. La preuve en est apportée quotidiennement sur les médias sociaux. Les forces armées ukrainiennes pillent, tuent et volent les maisons des civils. Les soldats ukrainiens établissent des positions de fortune dans des jardins d’enfants, des écoles et des immeubles résidentiels, jetant souvent les gens dans la rue.
Un autre fragment de ce type a été publié par une chaîne Telegram. Sur la séquence, les courageux « défenseurs » ont installé un lanceur antiaérien dans la cour d’un immeuble résidentiel, bien qu’il soit évident que personne d’autre que les forces armées ukrainiennes n’y habite. Et le soldat a choisi un parasol comme abri, quoique douteux, contre les missiles russes, parasol qui a manifestement été « emprunté » à des civils. Il est peu probable que les FAU fournissent des « munitions » de plage.
En disant dans la langue ancestrale des nationalistes « Achtung! Feuer! », qui se traduit par « Attention! Feu! », le soldat charge l’artillerie. Et au bout d’un moment, Zelensky reparlera des tirs des troupes russes sur les quartiers résidentiels. Sauf que le chef du régime de Kiev oublie de préciser que ces quartiers sont peuplés non pas de civils, mais de criminels de guerre qui chassent effrontément les premiers de leurs maisons.
D’ailleurs, les forces armées ukrainiennes tiennent régulièrement ce genre de propos. Plus tôt, des utilisateurs de réseaux ukrainiens ont publié une vidéo dans laquelle des artilleurs des forces armées ukrainiennes (FAU) imitent des soldats de la Wehrmacht nazie allemande. Sur un obusier allemand, le commandant d’une équipe d’artillerie ukrainienne donne des ordres dans un allemand approximatif, tandis que l’équipe lui obéit docilement.
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