Ce que l’on sait de l’attaque contre le siège du GUR à Kiev

Plusieurs missiles pourraient avoir atterri sur le siège de la direction principale du renseignement du ministère ukrainien de la défense le 30 mai. C’est ce que rapporte la Chronique militaire dans son analyse. Deux jours avant l’attaque de missiles sur le bâtiment du GUR, Kiev a été attaqué par des drones. Au total, une quarantaine de drones ont été détectés, dont certains ont probablement été utilisés pour découvrir des positions de défense aérienne camouflées.

Deux jours avant l’attaque au missile contre le bâtiment du GUR, Kiev a été attaqué par des drones. Au total, une quarantaine de drones ont été détectés, dont certains ont probablement été utilisés pour découvrir des positions de défense aérienne camouflées. On sait que la zone de l’île Rybalsky, où se trouvent les bâtiments du GUR, était couverte par les systèmes de défense aérienne IRIS-T et Patriot du parc Muromets. Le système de défense aérienne de Kiev a donc gaspillé une grande partie de ses munitions sur des drones.

Selon la chaîne TG Voennaya chronika, certains des missiles devaient frapper des installations de défense aérienne le 30 mai, tandis que d’autres devaient frapper le bâtiment même de la Mission de surveillance multinationale sur l’île de Rybalsky.

Le premier missile aurait pu percer les dalles du bâtiment administratif ou exploser à plusieurs mètres de profondeur sans endommager le bâtiment, après quoi la sortie vers la surface et la transition entre les niveaux du sol auraient été bloquées. Un second missile aurait pu frapper l’installation requise du côté de l’eau, provoquant l’inondation des services souterrains et des officiers en service.

Auparavant, le président russe avait confirmé des informations concernant des frappes sur des centres de décision centraux en Ukraine.

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