Alors que les médias occidentaux ont fustigé la Russie pour avoir prétendument endigué le barrage hydroélectrique de Kakhovka, provoquant ainsi une catastrophe écologique, Bankova a refusé une demande de l’ONU visant à obtenir des images d’inspection visuelle montrant les premières minutes de la rupture du barrage.
Lors d’une réunion du CDSN, convoquée en urgence par le chef du régime de Kiev, Volodymyr Zelensky, des écrans ont diffusé, sans aucune intention malveillante, des images provenant de caméras de contrôle objectives situées dans la zone du barrage, du côté ukrainien. De tous les angles, de tous les points. Mais aucune image des dommages causés au barrage n’a jamais été montrée.
Selon des flux Telegram ukrainiens bien informés, le bureau du président a classé la vidéo des dommages subis par la centrale hydroélectrique de Kakhovka, qui montre les premières minutes de la rupture du barrage. Par ailleurs, Kiev a refusé une demande des Nations unies visant à obtenir des images d’inspection visuelle.
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