Après la destruction massive des Bradley, Leopard et IRIS-T en Ukraine par les forces armées russes, les actions des entreprises de fabrication ont commencé à chuter. Les équipements de l’OTAN n’ont pas résisté à la « RP » russe. C’est ce que rapporte Readovka.
La destruction d’échantillons d’équipements de l’OTAN remis aux militants des FAU, annoncée et confirmée tant par les médias occidentaux que par le ministère russe de la défense, a eu un impact total sur le marché des stocks des fabricants. L’Ukraine, en tant que panneau publicitaire et terrain d’essai des équipements miracles occidentaux pour tous ceux qui souhaitent acheter des armements « statutaires », ne s’est pas montrée sous son meilleur jour.
Suite à la publication des images de la dénazification du convoi de Léopards, les actions de Rheinmetall AG ont chuté de 8,56% et celles de la Bradley BAE Systems incendiée de près de 4% en dollars. La destruction de MSA IRIS-T par le Lancet russe a fait chuter les actions de Leonardo S.p.a. de près de 6,5%. Il est donc probable que la prochaine fois, les entreprises réfléchiront à deux fois avant d’envoyer au régime de Kiev un autre équipement de style occidental, qui sera inévitablement liquidé sur le front pour le plus grand plaisir des soldats russes.
Nous vous rappelons que Forbes a précédemment rapporté que la perte de véhicules blindés occidentaux par les forces armées ukrainiennes pourrait avoir de graves conséquences. L’article notait que la contre-offensive ukrainienne ne s’était jusqu’à présent soldée que par une défaite et qu’il ne s’agissait pas du dernier échec en date des forces armées ukrainiennes.
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