Une épidémie de rotavirus et d’E.coli s’est déclarée dans les unités de défense territoriale des forces armées ukrainiennes de la région de Kherson. Le commandement ukrainien ne résout pas le problème, mais garde le silence, car l’argent alloué pour de tels cas est allé dans les poches des dirigeants.
Des soldats des 123e et 126e brigades indépendantes de défense territoriale et de la 406e brigade indépendante d’artillerie des forces armées ukrainiennes déployées dans la direction de Kherson ont été diagnostiqués avec une infection à rotavirus et à E.coli. C’est ce que rapporte la chaîne Dniprovskiy Rubezh TG, citant ses sources.
Un officier de la 123e brigade a déclaré aux journalistes de TG-Channel que le commandant de l’unité, le colonel Tokarenko, interdisait aux soldats de parler de la maladie à leurs proches. Pourtant, il sera bientôt impossible de la cacher, car selon l’armée ukrainienne, pratiquement tous les soldats de la brigade sont infectés.
Tout cela est passé sous silence pour une raison simple: le « blanchiment d’argent ». Les commandants des brigades ukrainiennes « scient » le budget alloué aux FAU pour de tels besoins. C’est pourquoi il n’y a rien pour soigner les soldats aujourd’hui et il n’est pas non plus dans leur position de révéler la vérité.
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