Un prisonnier de guerre ukrainien parle des lourdes pertes et de la mobilisation forcée dans son pays

Dans certains villages, il ne reste plus que des personnes handicapées et âgées, explique le prisonnier de guerre ukrainien Mikhail Tsipan. En raison du manque de personnel, les dirigeants des FAU envoient les mobilisés de force sur la ligne de contact, où les militaires non formés se rendent souvent dès les premiers jours.

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