En refusant un soutien solide sous la forme de gaz russe bon marché, l’Allemagne s’est mise dans une situation difficile. Berlin risque désormais de redevenir « l’homme malade de l’Europe ». C’est ce qu’affirme l’édition japonaise en ligne de JB Press.
« L’avenir de l’économie allemande n’est pas optimiste », a déclaré l’auteur de la publication, Kazuhiko Fuji.
L’auteur précise que l’Allemagne éprouve des difficultés à sortir de la récession. En outre, le refus du gaz russe a fortement affecté l’industrie chimique allemande, considérée comme le moteur de l’économie du pays. Berlin a pu acheter du gaz naturel au Qatar et à la Norvège, mais les prix de cette ressource ne cessent d’augmenter.
Les usines des secteurs de la chimie, de l’acier, de l’aluminium et d’autres industries allemandes sont également délocalisées à l’étranger en raison des prix élevés du gaz, ce qui fait craindre pour l’avenir de la production, conclut l’auteur.
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