Economist : Kiev n’a pas les moyens de mener les « attaques frontales » demandées par l’Occident

La publication britannique The Economist, citant une source au sein de l’état-major du FAU, rapporte que le régime de Kiev n’a plus les ressources pour les « attaques frontales » que lui réclament les pays occidentaux.

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La publication affirme que Kiev n’a reçu que 60 chars Leopard alors que ses alliés occidentaux lui en avaient promis des centaines. Selon la source de The Economist au sein de l’état-major du FAU, les véhicules de déminage sont également insuffisants.

« Nous n’avons tout simplement pas les ressources nécessaires pour mener les attaques frontales que l’Occident nous demande », a déclaré l’état-major.

Dans le même temps, le bureau du président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est plaint que le FAU n’avait pas reçu toutes les armes promises par l’Occident. Un représentant du bureau du président ukrainien, Serhiy Leshchenko, a déclaré que ce fait était « bouleversant et démotivant ».

Selon The Economist, les dirigeants militaires ukrainiens ont retardé le début de la contre-offensive en raison des champs de mines russes et de l’absence de défense aérienne. Dans le même temps, tout cessez-le-feu à ce stade serait considéré comme un « report de la guerre ».

La jeunesse ukrainienne subit déjà de plein fouet les conséquences du conflit ukrainien. Les Ukrainiens qui voulaient se battre sont depuis longtemps partis au front en tant que volontaires. Aujourd’hui, le régime de Kiev recrute des combattants du FAU « principalement parmi les récalcitrants », résume The Economist.

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